Notes from Underground; The Double (Penguin Classics)
C**A
Amazing
Amazing book but I got a different cover/edition than the one shown which is kinda weird
J**T
L'homme du souterrain dans toute sa "splendeur"
Drôle d’idée de lire ces deux romans russes en anglais quand on est Français. Mais bon, le prix était tentant et mon russe n’est pas aussi bon que mon anglais.J’avais précédemment lu les deux romans ado (si on peut dire que le premier est un roman) et j’ai souhaité les relire avec le bénéfice d’un âge plus mûr. Disons-le d’emblée, ce bénéfice escompté s’est révélé un désavantage net.<b>Le journal d’un Souterrain</b> (ou quel que soit le titre français) était et est toujours mon texte préféré de Dostoievski. J'ai dû le lire trois fois entre treize et quinze ans. Il a l’avantage de la concision comparé à ses romans plus célèbres et son narrateur à ruminations est l’archétype, le nec plus ultra du protagoniste dostoievskien, qui semble une excroissance monstrueuse et démesurée du <b>Démon de la perversité</b> de Poe (dont on a un exemple admirable dans le bref récit <b>Le Chat Noir</b>). Le défaut de sa qualité est que Dostoievski creuse très profond mais toujours au même endroit et que cela peut lasser. C’est mon cas. Et comme dit Tolstoï, aussi lucide lecteur qu’écrivain, « comme tout cela manque d’art ! ». Je ne vais pas faire la liste des défauts de l’artiste Dostoievski ; ils sont très nombreux et semblent suivre une règle que plus on le relit plus ils sont voyants. Ceci dit, <b>Notes from the underground</b>, reste à mon avis le livre central de son œuvre et je dirais que si vous n’accrochez pas à ce texte relativement bref, il y a peu de chance que vous appréciez ses très longs romans (où les défauts constatés par Tolstoï et bien d’autres sont encore plus gênants).<b>Le Double</b> a été autrefois ma seconde histoire préférée de cet auteur. Il faut dire que je l’ai lue dans sa version illustrée par Götting, excellente, et que cela a pu jouer sur mon appréciation, tant je suis sensible au graphisme. La traduction française était aussi, je pense, supérieure. L’histoire est intéressante et parfois très drôle mais non sans lourdeurs (d’une manière générale, le style de Dostoievski est lourd, volontairement répétitif, obsessif pourrait-on dire, mais parfois plus percutant comme dans Le Souterrain). Voilà, je viens de relire mes deux textes préférés de Dostoievski et je ne peux pas dire que cela a été une aussi grande expérience que prévu ; je ne pense pas réessayer dans un avenir proche ou lointain ; il faut croire qu’il y a un âge à ne pas dépasser pour apprécier cet écrivain.En mémoire de mes excellents souvenirs d'adolescence et du bon choix de l’éditeur, je mets tout de même quatre étoiles et un dixième (pour le dessin de couverture).
A**T
Shipped fast and good book
Book came swiftly without any issues. :)
P**
Down under.
Few authors equals Dostoyevsky in his ability to describe the inner struggles of a bleak mind. All of his novels are, in one sense or another, about the underground. I have read him rather extensively, but this one is the one that is more squarely devoted to the theme. The narrating voice is persuasive, paranoid and neurotic just as you would expect. It's a read that will appeal to the neurotic amongst us, though paradoxically, so convincing he is, that he should be best avoided by those same people.
S**S
Boring and plaid
Was expecting some kind of hook, but sadly nothing about this novel made me want to read it enthusiastically.
Trustpilot
1 month ago
1 month ago