American Gangster [Blu-ray]
D**.
Good film. Only a glimpse of bare breasts
More boobs, please.
S**D
Great movie about greed and glory
This is more than a gangster movie, it's about being greedy and wanting/craving TOO much attention.Great life lessons here for everyone.
C**R
Movie
Very good movie
V**E
Classic
This movie I can watch anytime!
D**A
Digital
Great movie
K**E
great classic movie
love this movie and the story line. displays history well.
T**N
Perfect
Great movie
A**R
Best movie about gangsters….
A must see. Denzel shines as usual.
R**.
Llego bien
Llego bien empacado y en tiempo
G**S
Aankoop American Gangster ( Blu-ray )
100 % OK Goede verzending en besteld item beantwoorde volledig aan de beschrijvingvan de verkoper ( uiterst tevreden ):-):-):-)
R**Y
Jagd auf den Drogenboss...
Der Brite Ridley Scott ist einer der einflussreichsten Filmregisseure überhaupt. Er hat mit seiner Erzählweise einige Genres geprägt. Schon sein Kinodebüt mit dem Historienfilm "Die Duellisten" ließ seine große Klasse erkennen. Zu seinen großen Meisterwerken gehören zweifelsohne "Alien" (1979), "Der Blade Runner" (1982), "Thelma und Louise" (1991), "Gladiator" (2000), "Black Hawk Down" (2001) oder "Alien Covenant" (2017). Auch der Mafiafilm "American Gangster" gehört zu den Highlights in seiner filmischen Laufbahn.Der Film entstand 2007 und ist einer der fesselndsten Filme dieses Genres. Dies gelang vor allem durch die hervorragenden Leistungen der beiden Hauptdarsteller Russell Crowe (der den guten Cop spielt) und Denzel Washington (dem überlebensgroßen Gangster). Darüberhinaus ist "American Gangster" eine bemerkenswerte Milieuschilderung des Polizeiapparates der 70er Jahre, wo Korruption und Bestechung zum Alltag geworden sind.Lobenswert auch die Kameraarbeit von harris Savides (Elephant, Zodiac, The Game), dessen Bilder ein stimmiges Zeitkolorit dieser Dekade vermittelt. Auffallend dabei sein Mut für eine kontrastarme Optik.Im Jahr 1968 ist Frank Lucas (Denzel Washington) die rechte Hand des Harlemer Mafiabosses Ellsworth "Bumpy" Johnson (Clarence Williams III). Als Johnson an einem Herzinfarkt stirbt, steigt Frank in den Heroinhandel ein. Er kauft das Heroin direkt bei den Produzenten in Thailand und schmuggelt es über heimkehrende Vietnamkriegs-Soldaten in die USA. Frank verkauft sein Heroin unter der Marke "Blue Magic", deren Erschwinglichkeit und Reinheit es unglaublich populär machen und einen Großteil seiner Konkurrenz ausschalten.Der Detective und aufstrebende Anwalt Richie Roberts (Russell Crowe) wird in seinem Revier geächtet, nachdem er fast 1 Million Dollar im Auto eines Mafioso gefunden hat. Captain Lou Toback (Ted Levine) beauftragt Roberts mit der Leitung einer Sondereinheit, die sich mit den wichtigsten Drogenlieferanten befasst, nachdem Roberts' Partner eine Überdosis Blue Magic genommen hat. Roberts wird auch in einem erbitterten Scheidungsstreit mit seiner Ex-Frau wegen seiner Untreue gezeigt.Franks Heroingeschäft floriert; er verkauft Blue Magic schließlich im Großhandel an viele Dealer im Dreistaatengebiet von New York und weitet seinen Vertrieb über andere kriminelle Organisationen aus. Mit diesem Monopol wird Frank zu Harlems führendem Verbrecher, der legitime Geschäftsfronten eröffnet und sich unauffällig verhält, während er sich mit Politikern und berühmten Persönlichkeiten anfreundet. Er kauft eine Villa für seine Mutter (Ruby Dee) und rekrutiert seine fünf Brüder als seine Leutnants. Frank verliebt sich schließlich in Eva (Lymari Nadal) , eine puertoricanische Schönheitskönigin, und heiratet sie. Er nimmt mit ihr am Boxkampf des Jahrhunderts Joe Frazier gegen Muhammad Ali teil, wo Roberts Frank entdeckt, bemerkt, dass er bessere Plätze hat als die italienischen Mafiosi, und beginnt, gegen ihn zu ermitteln. Frank gerät auch mit dem konkurrierenden lokalen Gangster Nicky Barnes (Cuba Gooding jr) aneinander; mit dem korrupten NYPD-Detective Nick Trupo (Josh Brolin), der zu den vielen Leuten gehört, die Frank bestechen muss; und mit der korsischen Mafia, die erfolglos versucht, Frank und seine Frau zu ermorden, weil sie sie aus dem Geschäft gedrängt haben.....Ridley Scotts Film wurde ein Kassenhit im Kino und es ist bedauerlich, dass er nicht mehr Zuspruch von der Academy erhielt. Es gab nur 2 Oscarnominierungen - eine davon ging an Nebendarstellerin Ruby Dee, die die Mom des Gangsters spielt, der auf "gutbürgerlich" macht. Die zweite Nominerung gab es in der kategorie "Bestes Szenenbild". Bei der Verleihung der Golden Globes gab es drei Nominierungen: Bester Film, beste Regie und Denzel Washington als bester Hauptdarsteller. Aber auch hier ging der Film am Ende leer aus. Top auch der Soundtrack mit Songs wie "Across 110th Street" von Bobby Womack und "Can't trust it" von Public Enemy.
M**N
American Gangster tutoie les plus hauts sommets du polar.
Ridley Scott a réuni deux géants du cinéma américain pour un duel au sommet dans les bas-fonds New-yorkais : Denzel Washington est stupéfiant en parrain calme et "classe" il interprète le célèbre Frank Lucas, le Baron de la drogue basée à Harlem de la fin des années 1960 au milieu des années 70 et Russell Crowe est génial en flic incorruptible au look très en vogue dans ces années là, avec une coupe de cheveux tendance. Dans une période post-Capone alors encore remplit de préjugés raciales; (bien qu'il fasse ces traffics dans les quartiers noirs de l'Amérique, il n'hésite jamais à multiplier les allés retour en Asie pour son Business). Franck a d'ailleurs réussi à s'émanciper de la pègre italienne et niera energiquement tout contact avec eux durant le film.Une fresque grandiose sur l'histoire vraie de l'ascension du premier parrain noir aux USA. Une superbe épopée criminelle servie par une reconstitution d'époque munitieuse. American Gangster se veut avant tout être une noble illustration du rêve américain qui ne se résume pas aux prestations impressionnantes de ses deux comédiens principaux. Une exigence qui justifie la durée conséquente d’un objet qui fonctionne crescendo : plus il progresse, plus il gagne en intensité. Aux commandes de cette entreprise ambitieuse qui suit le parcours du plus grand importateur de drogue new-yorkais, l’American gangster du titre, incarné par Washington, Ridley Scott respecte en surface les contingences du produit hollywoodien mais semble avant tout conscient de la robustesse du script signé Steven Zaillan, la vraie révélation de l’affaire. En faisant valser le blanc et le noir, le bien et le mal, le scénariste décrit avec précision un monde mouvant où les valeurs américaines patraques succombent sous le poids de l’argent et de la corruption, en écho aux incertitudes idéologiques d’antan.Malgré une entrée en la matière qu'on peut éventuellement trouver un peu longue, cette intensité mise dans le récit lui permet d’être efficace. C’est ce qui constitue le point fort du film : non seulement cette intensité est constamment présente, mais elle va en augmentant au fur et à mesure que l’histoire se déroule. Frank Lucas, privilégiant l’économie et la discrétion au clinquant et à l’emphase. Figure capitaliste, Lucas fait preuve d’une rigueur et d’une moralité qui tranchent avec ses activités de trafiquant notoire. En parallèle, le flic incarné par Russell Crowe est un modèle d’intégrité professionnelle quand bien même sa vie personnelle est un désastre. Le montage, remarquable, oppose ces deux trajectoires ambiguës tout au long de 150 minutes d’une fluidité qui impose le respect. La force de la narration culmine dans une dernière demi-heure exemplaire de sobriété où les deux personnages vont se retrouver. Par sa précision et sa véracité, la reconstitution met en exergue un capitalisme écrasant tout sur son passage, éclatant la frontière ténue entre l’idée que l’on se fait de la réussite et ses implications morales. Pour incarner cette ironie implacable (le mafieux est un régulateur social indispensable) Ridley Scott a du métier et sait manier sa caméra avec virtuosité. Comme souvent avec les films hollywoodiens la reconstitution des années 1960 est irréprochable et très bien documenté ! Les véritables Frank Lucas et Richie Roberts ont participé à la préparation des acteurs et au scénario.American Gangster est aussi une réflexion sur l'identité américaine ainsi qu'un regard sur l'envers de la "libre entreprise" comme ascenseur social. Business is business Dès la première séquence, la mort du mentor de Frank donne lieu à un dialogue détonant sur les temps qui changent, le petit commerce remplacé par les grandes enseignes... De fait, ce parrain de quartier va être remplacer par un parrain "globalisé" qui, en plein conflit vietnamien, part à Saigon pour y signer le contrat du siècle, l'importation d'héroïne pure par tonnes, qu'il raffine et coupe de manière industrielle avant de la vendre sous sa marque "déposée". Plus que ses origines ethniques ou sa violence impitoyable, c'est sa capacité à transposer la mécanique libérale dans la marge criminelle de la société qui permet à Franck de gagner le respect des autres communautés. D'ailleurs, Lucas ne quitte jamais l'habit du chef d'entreprise, le costard-cravate, et c'est une seule faute de goût (un manteau en fourrure trop voyant) qui entraîne sa chute. Ses détracteurs lui reprochent de « bousculer l’ordre naturel des choses », convaincus que « la chose la plus importante dans la vie, c’est l’ordre » ; il est le bras armé d’une révolution et incarne la transition entre deux âges de la mafia, à l’image de Michael Corleone. Or, une révolution ne saurait faire l’économie du sang et du chaos : toute création exige la destruction. Les personnages se livrent malgré eux ou consciemment à l’eugénisme, et qui est perceptible ici avec la cocaïne « pure » vendue par Lucas. Face à lui se dresse Richie Roberts, flic intègre et donc méprisé par ses pairs, dont la caractérisation échappe pourtant à toute axiologie : s’il est incorruptible dans son travail, il s’avère être un père défaillant aux yeux de la justice. Il vit dans l’illusion que l’honnêteté lui fera « gagner sa place au Paradis », selon les mots de son ex-femme. Scott s’attache à faire de lui un individu impuissant et isolé, en témoignent ses innombrables aventures sexuelles sans lendemain et son départ des locaux de la police : il est seul dans un bureau vidé de ses dossiers, il prend ses affaires, éteint la lumière, claque la porte derrière lui.Frank est un gangster à l’Américaine au sens où il est avant tout un pragmatique bourré de contradictions. Par exemple il fixe des règles auxquelles il n’hésite pas à faire entorse si nécessaire. Il aime sa mère mais frappe sa femme. De manière surprenante, il se pose contre les monopoles, sauf lorsqu’il s’agit du sien. Il vit dans un pays où l’on ne tolère pas la démission, à moins d’être au sommet. Il a un code de l’honneur qu’il finit par jeter à la poubelle en passant un marché avec la police. L’Amérique est un pays où l’on ne plaisante pas avec les balances, sauf celles qui donnent des flics peut-être. De plus, il y a cette scène qui est l'une des mieux écrites du film: ("Qui représente-tu ?" "Je représente personne, moi, je suis juste Frank Lucas"). Les seconds rôles, bien qu'ayant leur importance et étant bien écrits sont un peu plus effacés. Chiwetel Ejiofor (qui a quand même collectionné un paquet de seconds rôles avant 12 years a slave), Josh Brolin, Carla Gugino, Ted Levine, Cuba Gooding Jr et l'actrice Lymari Nadal... Beau casting de seconds couteaux en perspective. Et tous s'en sortent très bien. On a même un Idris Elba encore inconnu.Sorti en 2007, American Gangster montrait aux yeux du public et des critiques qu’après Gladiator, sorti en 2000 pour lequel il avait reçus l’Oscar du Meilleur film, que Ridley Scott était encore capable de réaliser des chefs d’œuvre d’une grande puissance. Avec une identité certaine, en s'attaquant au polar nerveux et envoûtant. Scott sait qu’il ne peut rivaliser avec la vision opératique d’un Coppola ou le réalisme coup de poing d’un Scorsese. Plus sociologique que tragique, il compense en s’attachant aux petits riens le détail qui amorce la chute de Frank Lucas, insiste malicieusement sur l’opposition entre son gangster, dangereux et attaché à sa famille. Mais la symétrie la plus terrifiante d’American Gangster réside dans l’utilisation de corps de soldats tués au Vietnam comme “mules” pour le trafic de drogue : institutions et dealers sont ainsi renvoyés dos à dos, et se rejoignent comme marchands de morts. Avec Les Affranchis, Les Sopranos ou Sur écoute, la télévision a disputé au cinéma le monopole du romanesque, de la densité des légendes criminelles que le réalisateur retrouve tout au long de cette ampleur, associée naturellement aux seventies : l’âge d’or de la grisaille, du modernisme et de la Mafia filmée comme dans le Parrain. A noter une bande son extraordinaire et un style "Serpico" parfaitement rendus. A ne pas manquer donc, si vous aimez les polars authentiques. American Gangster fait désormais parti des plus grands films de gangsters incontournables comme on aimerait en voir plus souvent au cinéma.
V**2
A Great Movie !!!
Anything with Denzel Washington in it is always worth watching. With Russell Crowe in support, whats not to like?
Trustpilot
2 months ago
1 month ago